Terence Davies se plonge à nouveau dans ses souvenirs : il parle à la première personne de la ville où il est né, Liverpool, et de la douleur du temps qui passe. Opposant le Liverpool de son enfance à la futilité du monde contemporain, il pleure la décadence d’un monde qui n’est plus, en commentant, avec passion, mélancolie et parfois causticité, des images d’archives soigneusement agencées.
- Sujets
- Langue
- fra
- Date de publication
- 28/02/2011