Trois années durant, Thierry Cardon a exploré le dépôt des locomotives de Saint-Pierre-des-Corps, le samedi ou le dimanche, moments où cesse toute activité. Dans les hangars, le photographe a scruté les locomotives désossées, les machines, ou ces ustensiles de fer et de fonte à partir desquels les ouvriers ont su recréer des objets et des formes nouvelles. Michel Diaz y ajoute sa poésie.
- Sujets
- Lieux
- Langue
- français
- Description physique
- 128 p.. ill.. 30 x 24 cm
- Date de publication
- 1997
- Espace
- Adultes
- Public visé
- 2