C'est pour l'enfant auquel il n'a jamais voulu donner naissance qu'Imre Kertesz prononce le kaddish -la prière des morts de la religion juive. D'une densité et d'une véhémence qui font songer à Thomas Bernhard, ce monologue intérieur est aussi le récit d'une existence confisquée par le souvenir de la tragédie concentrationnaire....
- Sujets
- Langue
- français
- Description physique
- 156 p.. 18 cm
- Date de publication
- 1995
- Liens
- Est une traduction de : Kaddis a meg nem született gyermekert
- Espace
- Adultes