Dans les années 1930, Paul Nizan dénonca certains penseurs de l'époque comme étant des chiens de garde du capital. S. Halimi applique le même qualificatif aux journalistes contemporains, promoteurs d'un prêt à penser qui ne sert que les intérêts des pouvoirs politique et économique.
- Sujets
- Langue
- français
- Description physique
- 111 p.. 18 cm
- Date de publication
- 1997
- Espace
- Adultes