Fin des seventies. San Francisco, la fureur au cur et au corps, consomme la libération sexuelle sous des néons tapageurs. Débarquant de Cleveland, la jeune Mary Ann Singleton plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour « chats errants ». Logeuse pour le moins libérale, Mme Madrigal règne en douce matriarche sur cette étonnante pension de famille « Ça va à toute vitesse, avec la profondeur d'un roman d'analyse et la légèreté d'un sitcom.» Stéphane Hoffmann, Madame Figaro Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Olivier Weber et Tristan Duverne
- Langue
- français
- Description physique
- 381 p.. couv. ill. en coul.. 18 cm
- Date de publication
- 2000
- Collection
-
10-18
. Domaine étranger
- Liens
- Est une traduction de : Tales of the city